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bonne idée, peut-être qu'ensuite elle lui enlèverait sa veste, ça serait bien pratique.

Voilà, comme ça là, ça serait plus simple, elle pourrait plus facilement se mettre sur lui, mais vite, vite, il ne fallait pas le laisser partir, alors vite revenir sur lui et enfoncer son sexe, vite.

Oh non, elle avait juste descendu le pantalon jusqu'au cheville, comment allait-il faire ? Il n'était pas assez souple, et puis avec cette veste il n'arriverait jamais à atteindre ses chevilles.

Bouger, bouger, oui, c'était bien, c'était bien... Mais pourquoi ne lui touchait-il pas ses seins ? Il ne les aimaient pas ? Peut-être avait-il remarqué qu'elle avait beaucoup grossi pendant le repas.

Elle allait trop vite, elle allait trop vite ! Comment pouvait-il suivre si elle allait si vite. Et puis avec cette veste, il était coincé, il ne pourrait jamais la tenir correctement.

Il s'endormait ! Non, ce n'était pas possible, pourquoi est-ce qu'il ne bougeait pas ? Il n'aimait pas ? Il fallait trouver autre chose, une autre position, il fallait trouver ce qu'il aimait.

Ah, elle bougeait, elle allait peut-être l'aider à enlever sa veste, ou au moins son pantalon. Non ! Elle se tournait juste ! Mais c'était quand même pas possible pourquoi ne lui enlevait-elle pas son pantalon ?

Mais pourquoi n'arrêtait-il pas de parler de sa veste et de son pantalon ! Quand même, elle était là, mince ! C'était quand même plus important ?

Bon, comment faire pour enlever cette veste, quand même, il était policier, il allait bien trouver, et puis si elle était vraiment trop lourde, il pourrait peut-être la découper en lui tirant dessus avec son arme.

Il fallait le faire jouir, oui ! C'était la solution, une fois qu'il aurait joui une fois, il ne partirait plus.

Elle allait beaucoup trop vite, elle allait beaucoup trop vite,

il n'arriverait jamais à tenir si elle allait si vite, surtout que ça veste devait le rendre plus faible.

C'était quand même pas mal, c'était quand même vrai qu'avoir un mec avec une grosse c'était bien, c'était bien. Quoique Gaen lui faisait bien l'amour, aussi, il faisait plutôt bien l'amour. Oui mais Thomas il ne bougeait pas, il ne bougeait pas !

Il allait jouïr ! Il allait jouïr, elle allait beaucoup trop vite !

Ah, il semblait aimer, c'était pas trop tôt ! Continuer, il fallait continuer !

Non, non, non ! Il n'allait quand même pas jouïr avec sa veste ! Quand même ! Arg ! Voilà, enfin, il avait réussi à sortir un bras !

Oh non pourquoi la repoussait-il ! Non ! Non ! L'attirer vers elle oui, l'attirer sur le côté, sur elle, vite, l'enlacer pour reprendre son sexe en son sein, vite !

Ah ! Oui, comme ça ! C'était bien mieux, allongé sur elle, il pouvait enfin se débarrasser de cette veste ! Enfin, victoire ! Il s'était libérer ! Il ne rester plus qu'à enlever son pantalon, et il pourrait vraiment lui faire l'amour, vraiment lui montrer de quoi il était capable.

Non ! Non ! Non ! Il ne fallait pas qu'il parte, le tirer, le garder en soi, crier ! Lui dire d'aller plus vite ! Plus vite !

Elle criait trop fort, bien trop fort, elle allait le rendre sourd, mon Dieu, vite, comment faire ! Et avec son pantalon, il ne pourrait jamais partir ! Il fallait en finir, c'était la seule solution, il fallait en finir !

Oui ! Oui ! Oui ! C'était bon, bon ! C'était bon ! Bon ! Bon ! Quand il allait vite comme ça, oui en plus c'était vraiment une bonne idée, il avait un si gros sexe, elle le sentait si bien de toute sa longueur, c'était si bon ! Il fallait qu'il continuât, elle allait jouïr, c'était si bon !

Il fallait qu'elle jouît, comme ça elle arrêterait de crier et